Anthéa, c'est ici qu'on travaille !

Ouai, au poil ! Tu me fais ça et tu me le montres pour un dernier check et puis je te donne mon feu vert =P

Le ciel, remplit d'étoiles, illuminait le visage d'un être aux traits impartiaux, mais à la beauté extravagante. Il aurait suffit de le regarder, même quelques secondes pour tomber sous ses charmes les plus fous. Il était distingué, venait d'une bonne famille et pourtant ...

Cette nuit-là, malgré la pleine lune, la ville annonçait une alerte. On comprenait rapidement qu'un drame avait eu lieu. Le clocher sonnait à vive allure. Les gens se ruaient un peu partout dans les rues, cherchant à savoir pourquoi produisait-il cette mélodie si inquiétante.
Ce soir-là, une jeune fille brune, se réveilla doucement à cause des bruits qui sillonnaient la ville. Elle avait aussi fait un rêve, un rêve des plus étranges. Elle imaginait, un homme, mort de plusieurs coups de couteau. Au dehors, l'agitation atteignait son apogée . On pouvait distinguer des cris, des pleures. La terreur régnait parmi la population. Elle avait tué un homme et elle n'en revenait toujours pas. La férocité de cet acte était incroyable, effrayant. Le sang avait jailli sur tous les murs et même sur elle. Mais, la question qui restait en suspend, c'était pourquoi sa robe de chambre était, elle aussi, couverte de sang. Alors, elle allait vers le miroir qui se trouvait dans sa chambre. Elle vit alors que le sang probable de cet homme se retrouvait partout sur elle. Qu'avait-elle donc fait ?
Dans la sombre nuit d'automne, elle savait que sa vie ne serait plus jamais la même. Partir ? Rester ? Elle n'en savait encore rien. Ce qu'elle n'envisageait pas, c'était que tout cela la rattraperait à cause d'un terrible malentendu.

Partir. La lâcheté, la faiblesse, l'indignité, la fausseté, la mollesse.
Rester. Le courage, la bravoure, la loyauté, la noblesse, la dignité.

C'est parfait ! Tu peux commencer à publier cette histoire ! Tu pourras me passer l'adresse du blog où tu la mettras, que je te laisse des comm" ?

Maintenant que le prologue est fait, le premier chapitre. Écris-le QUAND TU AURAS LE TEMPS ET SURTOUT QUAND TU TE SENTIRAS PRÊTE. Je te propose plusieurs solution : soit tu commences le premier chapitre quand elle quitte la ville après son "meurtre", soit tu le commences un peu avant, pour qu'on puisse voir l'avant meurtre, et comment tout a basculé. Si tu as d'autres idées, tu peux bien sûr ! Je ne suis là que pour te conseiller !

Youpppiiiiii =)
Bon, je l'ai déjà fait hein (a)
Alors, comme tu veux l'adresse, je veux bien te la passer.
AutumnHell

J'écris le premier chapitre dès que possible. Peut-être ce week-end ou plus tard, mais je manque un peu de temps hein ! La terminale ...

Don't worry ^^Rends-moi ton travail quand tu auras le temps. Moi aussi la troisième ça rigole pas xDD.

Très joli blog =) je te laisserais un comm" quand j'aurais le temps !

Je ne sais pas si je dois venir ici pour te le dire, mais j'ai besoin de tes conseils pour autre chose, pour une autre histoire ...
Bien sur, je comprends que tu ne puisse pas me conseiller sur les deux. Mais ton avis serait vraiment important pour moi.

Aucun problème, je suis là pour ça rappelle toi !

Bon et bien en fait, j'ai écrit le premier chapitre de l'histoire avec laquelle tu me suis. Je suis bête, je l'ai déjà mis en ligne, mais je ne te voyais pas connectée, alors je ne savais pas si tu allais repasser tantôt.
Mais tu peux toujours me dire ce que tu en pense et je te donnerais ensuite celle pour laquelle j'ai vraiment besoin de tes conseils.

Premier chapitre : Introduction.

Je ne savais pas encore que tout cela serait le fruit d’une réalité existentielle. J’avais surement peur d’ouvrir les yeux, de voir la vérité en face. Ou j’espérais seulement que ce ne soit pas vrai du tout. Il y a des jours où on se rend compte à quel point le regard des autres est remplis de jugements de toute sorte et que c’est dans les situations les plus difficiles que l’on est seul. Seule, je l’ai été pendant une bonne partie de ma vie. A l’intérieur de moi, j’avais cette blessure. Elle me rendait vulnérable, peureuse sur certains points et impassible face aux jours, aux mois, aux années qui sont passées depuis. J’ai eu peur. J’ai pleuré. J’ai souri aussi. Et dans tout cela, il y a eu d’autres personnes. Il y a eu lui. Bien sur, toutes les histoires commencent par il était une fois et bien que l’on connaisse souvent la fin, on cherche à savoir comment ça se serait passé dans d’autres circonstances. Beaucoup commencent comme ça, certes, mais toutes ne terminent pas par ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Parfois, la fin est tragique. Vraiment tragique.

Premier chapitre : Partie une.

Les choses auraient pu se passer différemment comme tout ce que l’on vit durant notre existence, aussi courte soit-elle. Un soir de pleine lune, où tout aurait du être calme. Mais un son aigu vint empêcher cette tranquillité de persister. Le clocher ne sonnait que pour de rares occasions et souvent, elles concernaient des choses graves. Quelques instants après, l’agitation commençait à se faire sentir. La population prononçait des paroles à peine audible. Certaines personnes couraient partout pour savoir. Savoir pour le clocher s’était soudain mis à sonner à vive allure. Les premiers cris firent leur apparition. La peur, la surprise, autant de choses que l’on ne pouvait pas déterminer avec une réelle certitude.
Et non loin de là vivait la famille des Gilbert. Ils avaient eu une fille en 1878 et même les plus mauvaises langues ne pourraient soupçonner ce qui se passait réellement dans cette petite baraque. Construite avec de vielles brique, elle ne possédait que deux pièces : la chambre des parents et le reste. Le père tenait une vieille librairie où personne ne se rendait. Il avait mauvaise réputation, mais on ne savait pas réellement pourquoi. Il aurait fallu le demander à la principale concernée, à celle qui subit la rage d’un père violent. Celle qui ne vit qu’à travers une mère impuissante et naïve. Celle qui souffre en silence, cachée de toute autre présence humaine et qui pourtant ce soir là, avait fait un rêve presque incroyable.

« A toute allure, je sortais de chez moi en espérant pouvoir fuir ce père que je déteste tant, mais que je ne peux pas réellement quitter. Que serait ma vie sans la présence de cet être qui m’a élevé et de cette mère qui m’a donné la vie ? Sans doute une nuit sombre et cauchemardesque qui ne se terminerait jamais. Ma seule échappatoire est qu’il ne se rende compte de rien pendant quelques instants. Les seuls où je peux voir le ciel éclairé de ces milles étoiles. Cette nuit là, il y avait aussi la lune dans sa totalité et j’étais heureuse de pouvoir l’admirer sans me demander si ce que je faisais était bien ou non. Je marchais, la tête en direction du ciel. Je m’imaginais parfaitement bien frôler le sol sans pour autant le toucher. Je me sentais libre enfin de compte.

- Mademoiselle, murmura une voix derrière moi.

Je me retournais pour rencontrer cette même personne qui venait sans nul doute de m’appeler. Il y avait un homme vêtu d’une veste noire et d’un pantalon de la même couleur. Portant un chapeau, je ne pouvais vraiment percevoir son visage. Je m’approchais progressivement de lui.

- Approchez !

Je remarquais quelque chose dans sa main, mais je ne me méfiais nullement. Personne ne pouvait se comporter comme ce père que je ne désirais pas. Pourtant, en me rapprochant, je m’aperçus qu’il tenait un couteau, un long couteau. Etrangement, je ne me sentais pas en danger. A quelques pas de lui, il me tendit cette arme.

- Transpercez-moi le cœur. Mettez fin à ma douleur, je vous en prie. Faites cela pour moi.

Au début, je prenais cela pour une plaisanterie, mais je remarquais vite qu’il ne voulait pas rire. Il pensait réellement ce qu’il était entrain de dire. Je me sentais si faible, si vulnérable que j’en eus des frissons dans tout le corps. Comment mettre fin à la vie d’un homme que je ne connaissais pas et qui n’avait sans doute pas de réelles raisons pour mettre fin à sa vie. Cependant, plus je le regardais, plus j’avais envie de répondre à ses attentes. Certes, je ne me le pardonnerais jamais, mais au moins, j’aurais la sensation d’avoir fait quelque chose de bien dans ma vie, même si on ne peut pas considérer le meurtre comme un acte de bienfaisance. Une larme tapissant ma joue, je pris le couteau en main. Il prit d’abord mon poignet entre sa main et effaça cette larme de ma joue.

- Le seigneur vous pardonnera.

Fermant les yeux et en prenant mon souffle, je plantai la lame du couteau dans son cœur. Il s’écroula sur le sol presque instantanément et quand je rouvris les yeux, je remarquais un sourire dessinait sur ses lèvres.
Je venais de tuer un homme. »

Cette nuit-là, on avait apprit qu’un homme d’une trentaine d’années avait été assassiné en plein milieu d’une rue. On comptait plusieurs coups de couteau. Et non loin de là, l’enfant unique des Gilbert se réveillait avec une chemise de nuit pleine de sang.

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Et maintenant, l'autre histoire. Désolée, ça fait un post assez long et je suis consciente de te demander beaucoup de choses ...

Ce soir-là, il avait plu énormément. La jeune femme était devant cette maison que l'on disait maudite. En effet, la plupart de ses anciens résidents étaient décédés dans d'étranges conditions. On racontait que les murs pleuraient du sang et qu'une voix d'homme avait envahi les différentes pièces de la maison. Etant une grande pessimiste, elle ne croyait pas en ce genre de malédiction. Ses parents étaient morts suite à sa naissance. Elle se considérait comme un poison pour le monde entier. Un poison mortel.
Elle était donc entrée à l'intérieur. La vieille porte en bois produisait des grincements atroces qui ne lui faisaient mal aux oreilles. Grâce à la lueur d'une bougie qu'elle avait pris soin d'emporter dans un sac, elle pouvait apercevoir le hall d'entrée. Elle comprenait pourquoi les plus nobles familles avaient résidé ici. Cette maison était grandiose. Elle avançait tout doucement, comme si elle craignait quelque chose. Inconsciemment, elle croyait à ces légendes. Tout le monde y croyait. Elle n'allait pas être l'exception. Un petit courant lui fit peur. Une fenêtre devait être ouverte. Elle se dirigeait vers le salon, une grande pièce avec des fresques romaines sur chaque mur. Ceux-ci étaient blancs. De vieux meubles, recouverts de draps de soie blanche, se trouvaient encore là. Elle continuait la visite à l'étage. Elle traversait un long et spacieux couloir. Au bout, il y avait une porte. Elle tentait de l'ouvrir, en vain. Elle allait alors vers une autre pièce lorsque le bruit d'un objet tombant sur le sol se fit entendre. Une clef. Elle la prit donc. A quoi pouvait-elle servir ? Elle l'enfonça dans la serrure, la tourna. Elle s'ouvrit. Les battements de son cœur se faisaient haletants. Un coup de vent gigantesque l'empêcha d'ouvrir les yeux et lorsqu'elle pu enfin le faire, elle se trouvait dans une pièce toute blanche, comme si on venait de la repeindre. Elle n'avait plus la bougie dans ses mains. Elle avait l'impression que quelqu'un la regardait. Elle restait là, immobile. La jeune femme se sentait inutile, bien qu'il ne fût pas nécessaire de faire un pas de plus. Plusieurs courants d'air faisaient valser ses cheveux de gauche à droite. Elle regardait tout autour d'elle et se rendait compte qu'il n'y avait aucune issue. Etais-ce dans cette pièce que toutes ces personnes étaient mortes ? Dans ce cas, elle pouvait craindre que ce soit également son cas.

» Un jour, tu verras ... by Anthéa
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