P R E T T Y - MOUTON
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| Sujet: Pretty Mouton : Tadidadidaaaaah Ven 18 Déc - 22:20 | |
| MOUTON DE THON-MOU
| Prénom : Adrianna (Karembar!)
Age :16 ans !
Surnom(s) : Pretty Woman / Mouton !
Spécialité (fanfiction, poèmes etc) : Histoire écrite de ma propre imagination !
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Exemple de ton art (extrait de texte entre spoiler) :- Spoiler:
Il y avait foule dehors et je ne savais pas dans quel bâtiment me rendre, j’étais complètement perdu ! Je n’étais pas de grande taille donc je devais me mettre sur la pointe des pieds pour apercevoir quel bâtiment se trouvait devant moi… Je me faisais bousculer pars de grande blonde à talon ou des garçons légèrement maladroit. Après quelque minute de lutte, j’aperçus enfin le bâtiment ou j’avais cours ! Je me faufilai entre les élèves, essayant de ne pas me faire remarquer et arriva enfin devant la porte de la salle de théâtre, oui, je suis étudiante dans la prestigieuse école Berkeley. Je fais des études sur l’art du film, j’aimerais devenir actrice et scénariste pour des raisons personnelles… Un rang bien rangé c’était formé devant la porte de la salle. Je me plaçai tout devant à coter d’une binoclarde et qui me regarda de bas en haut, je rougis légèrement, je détestais que l’on me regarde comme ça… Elle pris la parole sans que je m’y attende :
-C’est toi la nouvelle ? -Euh… Oui, dis-je avec un mauvais accent américain.
Elle pouffa de rire ce qui me fis rougir de plus. Ceux de derrière nous fixaient maintenant, je leur tournai le dos avant de fermer les yeux, j’avais un accent français, normale j’étais française, mais cela aller m’handicaper par la suite. Elle reprit la parole :
-T’es étrangère toi ! Polonaise ? -Non, Française… -Ouah ! La classe, j’adore ton accent ! -Merci…
Je fus un peu plus rassurée même si j’entendais quelques chuchotements derrière moi. Le professeur arriva quelques secondes après. Il n’était pas très grand, un peu plus que moi, il avait la peau matte et une moustache noir. Il nous fit rentrer et je pris place au fond de la classe, j’avais de la chance que les tables soient individuelle, comme ça je n’aurais pas un voisin qui pourrais me déranger pendant le cours. Tout le monde sortit une feuille et un stylo, je fis de même et attendis que le cours commence. Le professeur monta sur l’estrade et y mis une chaise. Il se retourna vers nous et cria :
- VOUS ETES PRET ? -OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!! -J’AI PAS BIEN ENTENDUS -OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! -Ben voila, c’est mieux !
Tout le monde avait crié à part moi, je m’étais juste enfoncer dans ma chaise pour me fondre dans le décor. Je surpris quelques regards me fixer, cela me mis vraiment mal à l’aise… Le professeur parcourra la classe des yeux et déclara :
-Bon, aujourd’hui, nous allons faire l’exercice de la chaise ! (Hein ?) Bon, qui va passer sur la chaise aujourd’hui… (Pas moi, pas moi !!!) Tient, tient, mais que vois-je donc ? La petite nouvelle ! Allez, c’est toi qui t’assois sur la chaise aujourd’hui. (OUIIIIIIIIN)
Tremblante, j’obéis comme une élève bien sage, j’aurais pus lui balancer ma chaise dans sa figure et qu’il aille à l’hôpital pour que je ne passe pas sur la chaise devant tout le monde mais aujourd’hui, je suis raisonnable, comme toujours ! Je montais sur l’estrade en trébuchant –pouffement de rire de la classe- puis m’asseya sur la chaise. J’avais les mains moites et n’osais pas regarder la classe. Je professeur m’expliqua la consigne :
-Bon, voici l’exercice, tu dois raconter toute ta vie, ou au moins les moments les plus importants jusqu’à maintenant, tu as compris ? -O…Oui… -Très bien, commence quand tu le sens ! -Jesuisnéele4avril… -HOLA ! Calme ! (rire générale de la classe) On n’est pas au rallye 2008, prend ton temps, respire, ce n’est pas noté, c’est juste pour en savoir plus sur toi. -D’ac…cord…
Je fermais mes yeux et respira fort, on avait trois heures de cours, donc je ne pouvais échapper à cette corvée… Et si j’inventais quelque chose ? Que j’étais fille d’une dame riche… Mais je n’arriverais pas à improviser… Je raclais ma gorge et commença mon récit :
-Voila…
« Je suis née le 4 avril 1991 à Paris dans un appartement à deux rues de la gare Montparnasse, (Ils foncèrent tous les sourcils, oui évidement il ne savait pas ou ça se situait), J’ai voulu sortir trop vite, alors mes parents n’ont pas eut le temps d’amener ma mère à l’hôpital. Il on appeler les renforts, une des voisines était sache-femme. Je suis donc née dans le lit de mes parents, d’après mon père, je n’ais pas pleurée avant 5 minutes, on a crue que j’étais morte. Mes parents m’on appelée Hope, espoir en Anglais, Hope Night, mon père était Anglais, c’est pour ça que je n’ais pas un nom Français. Un avait une petite vie parfaite, ma mère avait quitté son boulot pour s’occupée de moi, pendant 4 ans, c’était mon père qui me donner des cours à la maison, ma famille ne voulait pas m’envoyer à l’école pour diverse raison que j’ai oubliée. J’ai donc appris deux langues pendant mon enfance, j’étais donc bilingue à 4 ans. « Le jour de mes 5 ans, ce n’était pas un jour comme les autres, aux lieux d’avoir mon petit déjeuner au lit comme tous les jours de mon anniversaire, ma mère me secouait pour que je me réveille. J’avais couru dans le salon et il u avait des valises pleine poser parterre. Je leur demandais qu’est ce qu’il ce passait, mais aucun deux avaient pris le temps de répondre. Nous avions couru vers la gare charger de valise, à cette heure-ci, il y avait un monde fou. Je tenais la main de ma mère et m’accrochas à elle, mais je fis un geste, sûrement le geste que j’ai le plus regrettais de ma vie, j’ai relâchais légèrement ma prise et ma main à glisser, J’avais perdu mes parents. J’ai couru dans toute la gare (je fis des gestes comme pour mettre mes camarades dans la scène), j’ai criée « Maman, MAMAN !!!!! », mais je ne la trouvais pas ! Une cloche retentis, le train aller partir, je me dirigeai vers celui-ci et regarda par les fenêtres. Quand le train commença à partir, je vis le visage de ma mère à travers l’une de ses fenêtres, elle était en larmes et me cherchais des yeux, je fis de grand geste en fondant en larme aussi mais elle ne me voyait pas, et le train c’est éloignée. J’ai couru, essayant de le rattraper mais… Ils sont partis sans moi, me laissant toutes seules, une petite fille de 5 ans, je ne savais même pas pourquoi ils ont dus quittés la ville, mais ils m’ont laissée toutes seules…
« 4 avril 1999, C’était le jour de mon anniversaire, pour la 8ème fois, et pour la 3ème fois, j’étais restée dans mon lit à pleurer, c’était le jour ou mes parents m’avaient abandonnés. J’avais était recueillisse par un groupe de gitant, j’habitais donc en Espagne, dormais dans une caravane infestait de rat et parlais une nouvelle langue, l’espagnol, bien sûr ! Donc je disais, comme tous mes anniversaires pendant trois ans, je restais dans mon lit à me vider des larmes sur un médaillon que mes parents m’avaient offert à ma naissance. C’était bien la seule chose qui me restais d’eux, et mon accent Français dont je luttais pour ne pas perdre. Une amie du groupe de gitant, Veronica, était venu me voir pour me donner un bout de poulet, la seule chose qu’elle m’eut à me dire comme tout les ans était : « Pourquoi tu pleures ? », et je lui répondais d’un regard noir, à chaque fois elle ressortait l’air blesser en me laissant le bout de poulet que je ne touchais pas. « Mais cette année ne se passa pas comme les autres, j’avais entendus des cries dehors, j’étais donc sortis pour voir ce qu’il se passait. Deux hommes assez grand ce tenaient devant le chef du groupe, d’après de ceux que j’avais compris, ils voulaient que l’on parte de ce champs qui à propriétaire une Duchesse… Le chef c’était tournée vers moi et m’avait pris fermement l’épaule tout en disant « Je vous donne cette fille contre une semaine ici, le temps que l’on trouve autre part ou allez ». Veronica avait poussait un crie de protestation mais personne en avait pris compte, moi, je m’en foutais, autant crever, ça serais plus facile… Ils acceptaient le marcher et m’avaient emmenés dans un Château ou j’avais appris que c’était maintenant ici que j’allais habiter et que je serais au service de la Duchesse « Je sais plus quoi » jusqu’à la fin de ma pauvre vie !
« 4 Avril 2003, le jour de mes 12 ans, 12 ans que je vis, 7 ans que je suis orpheline et 4 ans que je suis esclave d’une Duchesse immonde ! J’étais à sa merci, je faisais le ménage, la cuisine, le jardinage et devais avoir un accent espagnol en sa présence. Une autre fille était dans le même cas que moi, Lolita, 15 ans, elle était là depuis 7 ans. On n’avait pas le droit de se parler pendant les heures de boulot, mais une fois dans nos chambre –enfin si on pouvait appeler ça des chambres- on parlait de nos vie, de ceux que l’on avait fait pendant nos journées –que des tâches ménagèrent-. « Puis le jour de mon anniversaire, je comptais bien m’enfuir de cet enfer ! Pendant que j’étais en train de faire le lit de Madame la Duchesse, (rire collectif de la classe à cause de la façon que je l’avais dit), j’avais tout prévus et en avait fait pars le soir même à Lolita qui a voulu me suivre pour mon plus grand bonheur ! Le soir même, nous avions fait nos sacs puis avions fait une corde de luxe avec les draps. Après avoir vérifiées que la Duchesse étaient bien en train de dormir, nous avions lancées la cordes pars la fenêtre, il y avait au moins 10 mètres de hauteurs. Lolita avait insistée pour que j’y aille la première, peu rassurée, je suis descendu sans aucun problème. Sans faire de bruit, j’ai fait signe à Lolita de venir me rejoindre, celle-ci descendit mais un des draps lâcha, elle à fait une chute de 5 mètres. J’avais poussée un cries horrifiée qui avaient réveillé les chiens à l’autre bout du jardin. Je m’étais jetée sur elle, elle respirée encore et était avec moi, elle a dit de sa voie faible « Pars, ne m’attend pas et ne te retourna pas, vite ! ».Elle me repoussa avec le peu de force qu’elle avait puis je partis courir vers la grille. J’ai sautée dessus, et j’avais réussis à passer de l’autre coter. Mais en me réceptionnant, je m’étais tordu la cheville. Ignorant la douleur, j’ai couru loin. Je me suis retrouvée au bord d’une route ou j’ai commençais à faire du stop, je n’arrêtais pas de penser à Lolita, je l’avais abandonnée… Une voiture s’était arrêtée et je m’étais dirigée vers elle. C’était un homme au visage sympathique qui était dedans, il voulait savoir ce que je voulais, je lui ais tout simplement répondus « Je veux retrouver mes parents ! » « 4 Avril 2007, le jour de mes 16, 13 ans que mes parents m’avais abandonnés, et 4 ans que je n’étais plus orpheline, vous devez être sûrement perdu ! Vous vous rappelez le mec de la voiture, c’est un scénariste qui ma recueillit, mon histoire la touché et je ressemblais beaucoup à sa fille qui était morte d’une leucémie. Il m’a conseillé que pour retrouver mes parents, le mieux est de devenir célèbre, seulement, je savais chantée mais devant des personnes, je perds mes moyens et sinon je dessine comme une enfant de 4 ans. Mais savant parler trois langue couramment et que j’avais beaucoup de charme –d’après lui- il m’a conseillé le métier d’actrice qui me tentais bien. On est allé habiter à Londre ou il a fait les démarches pour que je sois sa fille, et il m’a prénommé Sharon Hope Night, il voulait absolument que je garde mon prénom d’origine en deuxième nom, lui-même s’appelle Edmund Night. Bref, je vous disais que c’étais le jour de mes 16 ans, J’étais au lycée pendant toute la journée, je n’avais rien fait de spécial cette journée là et je trouvais ça bizarre, il arrive toujours quelque chose pendant mes anniversaire, mais cela n’allait pas tardée à arriver ! « Je suis donc rentrer chez moi, et dans le salon, il y avait plein de carton parterre, j’ai cherchée mon père dans tout l’appartement mais il n’y était pas. J’ais attendus 5 minutes et il est arrivé accompagné d’une odeur de boulangerie. Il était surpris de me voir mais avait deviné mon regard. Il s’était assis à coter de moi, sourire aux lèvres et m’a tout simplement dit « On va en Amérique ! » et j’ai tout simplement répondu « Non ? Sérieusement ? » et puis on s’est tombés dans les bras…
« 4 Avril 2009, les jours de mes 18 ans, fini le lycée et bonjours la fac. J’avais fait plusieurs demande de Fac d’on Berkeley. Tous les matins je regardais le courrier, priant pour qu’une des universités me prenne. Mon père m’avait aidé à les choisir, il fallait qu’elles fassent études des arts du cinéma, pour que je devienne assez connu pour que mes parents me reconnaissent. Je revenais de mon cour de théâtre, mon père était assis sur le canapé et tenait une enveloppe dans les mains. J’ai couru vers lui et à pris la lettre entre les mains, C’était la lettre de Berkeley, je lui ais demandée de l’ouvrir pour moi. Je m’étais bouchée les oreilles. Après qu’il ait ouvert la lettre, aucune expression sur son visage, je crus que j’allais faire une crise cardiaque. Il m’a mis la lettre devant mon nez en me criant que j’étais acceptée, et nous avons crié de joie jusqu’à ce que les voisins viennent toquer à la porte… »
-Voila…
J’avais terminée mon récit, il n’y avait aucun bruit, j’entendais mon cœur battre la chamade. Un des élève, un garçon aux yeux gris commença à applaudirent les autres suivirent et toute la classe se leva en criant, en sifflant. Au lieu de rougir, je riais, oui, j’avais réussis mon défit, je me suis assise sur cette chaise et j’ai dévoilée ma vie. Je jetais un coup d’œil au professeur, il me souriait et me fit un geste de la main en signe de bravo. Finalement, je ne suis pas si petite que ça…
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