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 Digne d'un téléroman américain

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Jowell

Jowell


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Digne d'un téléroman américain Empty
MessageSujet: Digne d'un téléroman américain   Digne d'un téléroman américain EmptySam 5 Déc - 20:09

Prologue

Assise dans un resto-bar plutôt branché avec une amie de longue date, j'ai réalisé en discutant avec elle que les évènements dans ma vie s'étaient succédés les uns après les autres sans que j'aille le temps de le réaliser. Plus j'en discutait avec Isabelle, plus je me rendais compte que j'ai perdu le contrôle sur ma vie.

Quand j'étais adolescente, j'avais une vie facile. Quelques amies très proches, des parents qui m'aimaient et que j'aimais autant. Je n'étais pas ce qu'on pouvait appeler une reine du bal ou une dees filles populaires de l'école. J'étais la simple adolescente classique qui allait à ses cours et qui voyait ses amies de temps en temps. Même pas de petit copain. Je n'étais pas non plus se qu'on peut appeler un aimant à mec.

Après le secondaire, je suis aller étudier loin de chez moi. Dans une ville qui se trouvait à une heur ede route de chez moi. Je viens de la campagne, et là, je me retrouvait dans une grande ville.

Que pensez-vous qu'une petite fille sage fait lorsqu'elle se retrouvent loin de ses parents?
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Jowell

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MessageSujet: Re: Digne d'un téléroman américain   Digne d'un téléroman américain EmptySam 5 Déc - 21:28

Digne d'un téléroman américain 510

Chapitre 1
Don't trust everyone

Ma première journée au CEGEP fut plutôt banale, je l'avoue. C'était la rentrée alors j'ai rencontré les élèves qui allaient être dans mon cours ainsi que mes professeurs.
La deuxième journée a été vraiment différente de la première . Je suis arrivée d'avance pour pouvoir trouvé tous mes locals avant que tous les autres élèves remplissent les couloirs. Un peu de tranquillité avant cette journée qui s'anno^¸cait chargée ne me ferait pas de tort.
Alors que je refermais mo casier pour aller trouvé le premier local, je vit une gars passer derrière moi. Il ne dit pas un mot mai ce ne fut pas trop difficle de voir qu'il me relookait. Je lui sourit simplement car j'étais flattée qu'il me regarde de cette façn. Je n'avais vraiment pas l'habitude de me faire relooker comme ça. Mais j'aimais bien, je devais l'avouer.
Il passa derière moi, mais n,alla ps plus loin. En fait, il fit volte-face et revient vers moi. Mais cette fois-ci, il s'approcha plus. Il alla même jusqu'à s'accoter sur la casier à coté du mien.

- Tu es nouvelle ou je me trompe? me demanda-t-il.
Si je n'avais pas l'habitude de me faire relooker par un gars, j'avais autant d'expérience dans la manière de leur parler. La réponse était assez simple., Un petit oui aurait suffit. J'ouvris la bouche mais aucun son ne sortit.
- J'veux dire, je t'ai jamais vu ici alorsque je connais toutes les filles. Alors, j'me suis dit que tu devais être nouvelle.
- Oui, oui. Je viens d'arriver.
- Bienvenue alors. Si tu veux, je peux te servir de guide. Je connais tout le monde, ceux avec qui tu dois te tenir, ceux que tu dois éviter.

Il était canon, fallait l'avouer. Je me sentais totalement déstabilisée devant lui. Je ne savait pas quoi dire encore une fois. C'était plutôt rare que je discute avec des gars. le seul à qui je parlais vraiment, c'était un copain que je connaissais depuis mes 3 ans.
- Oui, merci. Ce serait gentil.
-Alors, je suis officielement ton guide jusqu'à ce que tu ne veilles plus de moi!

Il avait un sourire éclatant. Un sourire qui devait en faire craquer plus d'une. Je m'y mon sac sur mon épaule pour m'appr^ter à partir et lui, il me poussa légèrement en posant sa main dans le bas de mon dos.
- Bon, on commence la visite.
Il m'amena un peu partout dans l'école en m'expliquant toutes les classes qui s'y trouvaient, les personnes qui se tenaient dans ce coin, s'ils étaient fréquantrables ou non. On finit par la cafétéria. Il s'acheta une liquer et m'en amena une par la même occasion.
-Merci.
- De rien, ça fait plaisir. En passant, je m'apelle Patrick.
- Et moi, Cynthia.
- Alors, Cynthia, tu ne viens pas du quoi?
- Non, je vis assez loin d'ici en fait.
- Donc, tu ne connais personne ici?
- Non, personne.
- C'est plutôt bien.

Je ne compris pas pourquoi c'était bien que je connaissais eprsonne. moi, je trouvais ça plutôt lamentable. Mais comme Patrick semblait connaître tout le monde, je me suis fit qu'il valait mieux ne pas me le metre à dos.
Alors que j'étais perdu dans mes pensées, la cloche retentit et me fit sursauter.

- Je dois y aller. Mais si tu veux, on se rejoint ici après l'école. Je te ferai visiter le coin.
- D'accord.

Patrick se leva après m'avoir sourit avec ce magnifique sourire qui me faisait de plus en plus craquer.
Toute la journée, je n'ai pensé qu'à ça. Je me demandais toujours s'il craquait pour moi ou s'il faisait cela avec tout le monde.
À la fin des classes, comme promis, Patrick m'attendait assis à la même table que ce matin. Il me sourit de nouveau et je failli fondre sur place.

- Tu es là depuis longtemps? lui demandai-je en m'avança vers lui.
- Ouais, une heure environ.
- Ça fait une heure que tu m'attend?
- Ouais. Aller, on y va.

Il m'a fait visiter un coin super. On a marhé pendant plus de deux heures à travers la ville. partout autour de moi, il y avait des magasins, des magasins et encore des magasins. C'étaitt le paradis pour n'importe quelle fille ici. On a discuté pendant toutes la marche.
Ça été comme ca pendant quelques jours. On se retourbait après l'école et on discutait en se promenant un peu partout. Après seulement quelques jours, je connaissais une bonne partie de la ville par coeur.
Deux semaines plus tard, nous fesions toujours la même chose. Marcher et discuter. C'était devenu une routine. Mais en ce vendredi, Patrick changea un peu cette routine.

- Je t'invite à souper ce soir, ça te dit?
Ça me prit un peu au dépourvu mais ce N'était pas à tous les jours que je recevait une invitation à manger avec un gars.
- Ouais, pourquoi pas.
On se rendit chez luii. Il habitait tout près de l'école dans un petit appartement. Il avait à peu près la même grandeur que le mien.
Il me fit entrer la première et referma la porte derière lui. Il m'invita à m'asseoir sur le divan et il alluma la télé. Il vient s'asseoir près de moi. Près faut le dire. Il alla même jusqu'à passer son bras autour de mes épaules.

- Je t'ai jamais entendu parler de ton petit copain.
- J'en ai pas. Ça serait assez dur de t'en parler.
- Une belle fille comme toi doit avoir un copain.
- Et ben, non.

Je me sentit rougir assez rapidement. Je n'ai pas eu le temps de rien ajouter qu'il m'embrassait déjà. C'était plutôt agréable, je dois l'avouer. Je me suis laissée embarquer un peu trop vite, je crois. Quoi qu'il en soit, à ce moment-là, je ne pensais à rien d,autre que le fait qu'un gars vraiment canon tait en train de m'embrasser.
Alors que je savourait ce délicieux moment, quelque chose d'inatendu pour moi se produit. Je senti une main passer sous mon chandail et remonter dans mon dos puis finalement atteindre mon soutien-gorge. Je le sentit se détacher sous ses doigts.

- Patrick, non. Arrête.
J'esseyait de le repousser mais il n'y avait rien à faire. Il était plus fort que moi. Il me coucha sur le divan et me retira complêtement mon chandail et mon soutien-gogre. Je continuai à protester mais il ne voulait rien entendre. Il embarqua par dessus moi pour me tenir en place et retira son propre chandail. Ses mains et ses lèvres se promenaient un peu partout sur le haut de mon corps.
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